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De Images Blogger |
Droits d’auteur :
Je n’utilise sur mes sites et mes blogs, comme sur mon profil Facebook, que mes propres créations : textes et photos.
Les exceptions concernent des créations des photographes qui m’ont confié leurs oeuvres afin d’illustrer certains de mes propos. Ces photographies sont toujours légendées, créditées, et datées par mes soins. Elles ne peuvent pas être utilisées sans mon accord et leur accord.
Autres exceptions : je cite certaines marques en utilisant leur logo ou les documents mis à disposition sur le site commercial. Tout est légendé et URLisé.
Les lois internationales n’autorisent pas l’utilisation des photos ou des textes créés par autrui. On n’a pas le droit de publier dans un blog, ni dans un album Facebook ou Flickr ou Picasa, une photo « trouvée sur internet », en la copiant ou en la faisant glisser sur son bureau, puis en l’intégrant dans un billet ou article, comme si elle émanait du rédacteur du blog. Il y a là une confusion grave.
On peut seulement « bloguer » la photo, en copiant le code HTML que l’on trouve dans les rubriques Partager des galeries Flickr ou Picasa, ou Facebook, en conservant le lien à la galerie, ou au blog, ou à l’album, dont la photo est originaire.
Toute autre attitude constitue une contrefaçon et une atteinte à la création d’autrui.
L’internet permet à tous de s’exprimer. C’est à chacun de faire ses preuves et d’exploiter ses propres talents sans se prévaloir à peu de frais de ceux des autres.
Liens utiles :
http://www.commentcamarche.net/contents/droits/copyright-auteur.php3
http://www.ac-nancy-metz.fr/enseign/svt/info/droitint.htm
http://www.wipo.int/freepublications/en/intproperty/909/wipo_pub_909.pdf
© gaelle kermen 2010
Bonjour, votre commentaire semble ne s’attarder qu’au titre anglicisant de cette page, sans voir qu’il est traduit en haut de l’article. Vous ne semblez pas m’avoir beaucoup lue, sinon vous sauriez que je conseille toujours aux auteurs francophones qui me suivent dans le monde entier sur le blog gaellekermen.net de privilégier dans leurs écrits les termes traduits, genre « timeline = ligne de temps ». Je ne me sens donc pas vraiment concernée par votre reproche sur mon manque de défense et illustration des langues françaises et bretonnes. Je défends moi aussi la Bretagne depuis mon extrême jeunesse, comme en témoignent les Cahiers des années 60 déjà publiés. Pour le reste, chacun choisit les outils qui lui conviennent. Trugarez ha kenavo !
Bonjour,
Bravo pour toutes ces recherches, soit personnelles (généalogiques), soit historiques. Peut-être ces dernières seraient-elles à rapprocher de celles effectuées, d’aventure, par les services d’archéologie.
Quant aux supports et procédés informatiques complexes, si fastidieusement décrits, ils me passionnent beaucoup moins que le fond du sujet lui-même.
Qu’est, en effet, tout ce jargon, encore anglo-saxon, et jusqu’à cette addiction à user de mots étrangers à tout va dans un texte français ? Serait-il devenu si difficile d’user de notre langue maternelle, le Français – ou ici le Breton, vu le contexte géographique et historique – sans attendre … qu’elle disparaisse peu à peu sous la domination croissante d’une certaine langue étrangère envahissante, sans que bien peu s’en émeuvent ?
Dans nos écoles, il n’est qu’écrans, mais les enfants savent-ils encore tenir un stylo et écrire en Français ? Je l’observe : de moins en moins, ou de mal en pis. Quant au langage de la plupart des adultes, n’en parlons pas !
Soit dit en passant, de simples citoyens, discrets et soucieux de leur vie privée comme le soussigné, évitent « Google », « Facebook », « Amazon » et autres monstres manipulateurs dont nous voyons déjà les ravages, et utilisent des logiciels libres et « Linux ». Ils s’en trouvent, ma foi, fort satisfaits et plus tranquilles.
A propos, « copyright » partout employé, ne serait-il pas aussi étranger et sensiblement différent du »droit d’auteur » tout simplement ? A vérifier. Quoi qu’il en soit, que chacun écrive à sa guise et ne copie point autrui : cela va de soi.
Toutes mes félicitations pour le travail de fond accompli au service de la mémoire.
Cordialement.
Alain Kerjan, simple citoyen amoureux de notre langue française, et accessoirement, de nos langue et racines bretonnes qui, elles aussi, s’effacent doucement dans l’épaisseur du temps …